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- un apport financier ;
- une participation de premier plan à la gestion administrative du groupe ;
- un remplacement sur le chantier par un membre de la famille ;
- ou bien encore des calculs complexes en employant des ouvriers rémunérés ou bénévoles qui doivent aboutir à un total d’heure supérieur ou égal au nombre d’heures obligatoires.
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Table des matières
La place des Femmes
Il est un lieu commun à l’histoire officielle, c’est qu’elle laisse peu de place aux femmes. L’aventure des Castors ne semble pas échapper à cette règle à une époque où les femmes ont obtenu le droit de vote tout récemment et où elles n’ont pas encore le droit d’avoir un compte en banque en leur nom propre, ou bien encore de travailler sans l’accord de leur mari (il faut attendre 1965 pour cela). Elles sont aussi relativement absentes des archives de l’époque et leur rôle s’en trouve presque effacé.
Pourtant les femmes n’en demeurent pas moins des actrices essentielles du mouvement Castor. A l’heure où beaucoup d’hommes ont disparu, elles sont les ultimes témoins de l’époque. Les Castors constituent une aventure familiale, d’où l’on ne peut exclure la femme, même si le rôle du chef de famille est beaucoup plus visible. La maison, but ultime de l’aventure, est le lieu de vie de la famille au premier rang de laquelle se trouve la femme qui constitue « l’âme de la maison »[1]. Elle est encore en cette fin des années 1950, dans la majorité des cas, une mère au foyer. Celles qui travaillent à l’extérieur du foyer, sont peu nombreuses, l’organisation familiale est alors atypique, les tâches du quotidien étant encore très chronophages. Il convient de s’éloigner de nos critères contemporains pour mesurer l’implication des femmes dans l’aventure des Castors.
L’engagement en faveur du logement au féminin
Les femmes ont fait leur entrée en politique depuis quelques années; elles occupaient des fonctions électives avant même d’obtenir le droit de vote en 1944. Dans les conseils municipaux, elles ont souvent hérité des questions sociales et parfois donc de celle du logement. Il y a en effet deux charges symboliques dans la question du logement : le volet social qui traditionnellement ferait plutôt basculer la balance du côté des femmes alors que le volet bâtisseur le ferait plutôt s’orienter vers les hommes.
A Lesneven, dès le 30 janvier 1948, le maire souligne déjà l’implication d’une conseillère municipale, Mme Martin pour « l’effort accompli par elle durant ces derniers mois et des résultats nombreux obtenus grâce à son dévouement et sa persuasion » sur la question logement[2]. On note aussi le rôle prépondérant joué par les assistantes sociales. Dans cette même ville, Mme Odeye, conseillère municipale et assistante sociale, est membre du comité de patronage des Castors. On y retrouve également deux autres femmes : Mme Martin à nouveau et Mme Roudaut, pharmacienne. Les trois femmes du Conseil municipal élues en octobre 1947 sont membres du comité de patronage alors que ce même comité ne compte que 12 membres. Elles sont aussi toutes les trois membres de la commission de bienfaisance communale. A l’Arsenal de Brest, Mlle Baltenweg, assistante sociale au service social des armées (Asa) a joué un rôle de tout premier plan en faisant de son bureau, le lieu de recrutement des Castors de l’Arsenal qui en une dizaine d’années, réalisent plus de 600 logements dans la Ville[3].
Germaine Etourneau-Copin
L’étude des Castors de Buxerolles, menée par l’association « Buxerolles, Histoire et Patrimoine » a mis en avant le rôle de Germaine Etourneau-Copin qui a participé activement au lancement du COL à Buxerolles. Engagée dans la défense de la condition féminine, elle était chargée par le département de la Vienne de la réalisation d’une enquête pour étudier les conditions de vie des familles nombreuses. Un tel thème de travail ne pouvait que la conduire à croiser le chemin des Castors. Elle soutient donc les Castors, notamment en prenant part à l’accueil des civilistes sur le chantier.
Christine Brisset

Ce tour d’horizon rapide ne peut se terminer sans citer Christine Brisset, qui œuvre à Angers en faveur des nombreux squats organisés dans la ville par les militants (au prix de nombreuses actions en justice) et des Castors d’Angers qui ont été fort nombreux. Elle occupe durant toutes les années 1950 une place importante dans le mouvement Castor, seule femme au milieu d’hommes dans les instances nationales. C’est un rôle et une personnalité unique qui a incarné le mouvement Castor dans tout un département. Elle n’a pas d’équivalent masculin. Etienne Damoran, pour Pessac s’est finalement assez vite retiré de l’action directe et le fonctionnement du COL est de nature plutôt collégiale. Pol Pasquet pour le Finistère a été modéré par l’Eglise et son action s’est surtout concrétisée à St-Pol-de-Léon malgré l’important partage d’expérience dont il a été l’une des pierres angulaires pour le Finistère[4].
Toutes ces militantes de la première heure sont extérieures aux groupes Castors. C’est leur rôle social du fait de leur profession ou de leur mandat électif qui les a conduites à prendre un engagement fort en faveur des Castors, cette action s’étant souvent inscrite dans le cadre plus large de la question logement.
Le chantier, c’est essentiellement l’affaire des hommes
Les femmes en sont absentes, sauf pour la visite dominicale. Quelques clichés en témoignent. Elles jouent pourtant un rôle essentiel dans la continuité de la vie quotidienne durant le chantier ; elles sont aussi là pour veiller au grain et ouvrir l’œil : « La femme comme le mari, joue un grand rôle dans le travail Castor. Certes, elle n’est sur le chantier que pour voir où il en est (nos maris en sont contents), et se rendre compte de tous les efforts fournis et de l’état d’esprit qui règne dans le groupe, afin de pouvoir aider son mari à se rendre toujours meilleur (c’est souvent nous les femmes de nature un peu jalouse et impulsive, qui montons nos maris contre ce qui ne va pas) »[5]. Les journaux de liaison internes aux grands groupes comme l’Essor pour les Abeilles à Quimper même s’ils ne s’adressent pas directement aux femmes, permettent à celles-ci de se tenir informées de l’évolution du chantier. A Pessac, Daniel Bancon précise que les collecteurs passaient tous les mois dans chaque famille de Castor avec pour mission non seulement de récupérer la contribution financière des Castors, mais aussi et surtout pour faire le lien entre le Conseil d’administration et les familles.

Les femmes ne semblent pas avoir à intervenir directement, même pour la préparation des repas les jours des grandes assemblées où les Castors recouraient à une importante manœuvre bénévole. Les archives ont en effet révélé qu’au moins à Lesneven, les Castors utilisaient les services d’un traiteur[6] ce qui n’exclut d’ailleurs pas une participation des femmes au service. C’est aussi la preuve qu’elles étaient mobilisées sur d’autres tâches. En outre, la réalisation d’un repas pour un nombre important de convives, qui plus est des invités de marque que constitue cette précieuse main-d’œuvre bénévole, nécessite du matériel dont les sociétés Castors ne disposent a priori pas. La Semaine Religieuse de Quimper et Léon en date du 21 mars 1952 envisage le problème de la place des femmes dans les groupes Castor en faisant des propositions qui ne sont pas sans rappeler les activités de l’action catholique très développée dans le département, qu’elle soit masculine ou féminine : « L’action-logement, dans la plupart des cas, engage les hommes. Elle les prend tous les dimanches. Les loisirs n’existent plus. Les militants sont appelés à se déplacer souvent. Le foyer, sa vocation, son unité subsisteront-ils devant de longues années de vie anormale qui requiert un effort aussi total ? Bien des familles sont à bout. C’est un fait. Il est urgent de remédier à cette difficulté. En certains groupes peu importants, les femmes sont aussi intéressées que les hommes à l’action-logement. On s’ingénie à leur donner des responsabilités à leur mesure : courrier, petites démarches, paiements. Ailleurs, on a commencé à réunir une petite équipe féminine pour chercher le rôle des femmes dans la construction de la cité : on parle d’une Exposition-logement, dans laquelle elles auront à traduire l’âme d’un foyer heureux, à étudier le meilleur aménagement du mobilier, le meilleur outillage ménager, l’ambiance pour l’éducation des enfants… »
Mais dans l’ensemble, les femmes restent cantonnées à l’arrière, affairées aux lourdes tâches du quotidien pendant que les hommes travaillent au chantier. Dans le Finistère, il a été relativement courant d’intégrer une veuve ou un handicapé dans les groupes[7]. Ce membre supplémentaire doit alors compenser son absence de travail manuel par un autre moyen.
Cela se traduit selon les groupes par :
Adhésion des femmes au projet Castor

Quelques indices montrent cependant une adhésion profonde au projet. C’est d’abord l’acceptation des privations familiales et financières liées à ces longues années de construction où le mari est sans cesse sur le chantier délaissant la vie de famille, ne rentrant que le soir exténué après une dure journée de labeur. En conséquence, « toute la responsabilité du foyer » retombe sur la femme[8]. Il arrive aussi que les liens interpersonnels des femmes jouent un rôle important dans la constitution des groupes. Ainsi à Lesneven dans les deux premiers groupes qui réalisent à eux deux 66 habitations, 5 femmes de Castors étaient issues de la même fratrie, 5 sœurs contribuant sans aucun doute à l’unité des groupes[9]. Elles peuvent aussi prendre une part active à l’administration des groupes. Si ce travail est le plus souvent très dévalorisé par rapport au travail manuel, il n’en demeure pas moins réel. Il ne fait donc le plus souvent même pas l’objet d’un comptage, y compris dans le cas où celui-ci était réalisé par des hommes. Pourtant Monique Vilandrau aidait son mari à établir les payes[10].
A une époque où les femmes ne bénéficient pas de leur indépendance financière, sur les 168 souscriptions que recueillent le deuxième groupe de Lesneven, 20 % sont des femmes : veuves ou demoiselles. Parfois, le bon de souscription est aussi celui de Monsieur et Madame. On compte aussi parmi les souscripteurs, une religieuse. Le fait n’est peut-être aussi anecdotique car sur les chantiers, on ne voit que des hommes d’Eglise. Jean Boussougant, animateur de 4 groupes à Concarneau, rapporte lui aussi, dans son autobiographie, qu’il a pu lancer son deuxième projet Castor à Concarneau en 1952 grâce à une religieuse en civil qui disposait d’un terrain et voulait y faire construire des logements sociaux. Elle aurait autorisé le commencement du chantier avant même la vente du terrain repoussant cette échéance au moment où le groupe aurait suffisamment d’argent pour la payer[11]. Moralement, les femmes ont aussi été d’un grand soutien pour les Castors. Jean Boussougant lors d’un entretien en 2015, confiait le rôle essentiel joué par les femmes que ce soit son épouse, Renée, sa secrétaire-comptable, Augustine… pour le soutien et l’aide à lever des obstacles qui paraissaient insurmontables. Cette participation extérieure et volontaire de femmes au financement des chantiers témoigne d’une adhésion large de celles-ci au projet Castor.
Une conception avant-gardiste du logement de nature à améliorer la condition féminine
Les nombreux témoignages recueillis par l’équipe de bénévoles de la MPT de Landerneau ont révélé la pénibilité de la condition féminine. La corvée d’eau est encore la règle pour nombre d’entre elles qui habitent souvent à l’étage dans des immeubles insalubres. La lessive se fait encore au lavoir. Le souhait est bien de trouver « plus de commodités que dans le petit logement insalubre où ils sont actuellement »[12]. Dans le numéro 2 du bulletin de l’Union nationale de Castors, Michel Anselme, président de l’Union Nationale des Castors livre un article intitulé :
« Nos logements neufs doivent être la cause d’un allègement du travail ménager des femmes » : « Si l’on ne veut pas que le travail ménager constitue une tâche abrutissante, faite d’une succession de courses, de recherches, de besognes ingrates, effectuée à la hâte, il ne faut pas seulement s’appliquer à mettre un toit solide sur des murs neufs ! La mère de famille qui passe sa vie à la maison, doit y trouver, pour effectuer son travail, toutes les commodités nécessaires pour le faire. On n’y pense pas assez ! ».
Il préconise une organisation de la maison et des pièces en fonction des tâches qui sont à y effectuer. Il a une vision très moderniste en évoquant l’aspirateur comme un objet courant qui doit donc avoir son placard et en parlant de la machine à laver comme « d’un achat urgent » pour réduire « le nombre d’heures passé à tel ou tel travail ». Dans les cités, il propose de mettre en place des « services communs » (garderies, coopératives d’achats, etc.) qui peuvent constituer « une cause essentielle de libération de la femme ». Il considère le travail ménager comme étant effectivement « un travail » qui doit donc faire l’objet de progrès comme n’importe quelle autre profession, surtout que celle-ci regroupe 1/5e de la population. Pour lui, « l’élément principal du confort est inscrit dans le plan. Et […] il sera impossible, quels que soient les aménagements futurs, de réadapter une maison à sa vraie fonction, si on l’a laissé construire sans en avoir le souci ».
Les numéros suivants proposent donc des études pour optimiser l’aménagement intérieur de leur habitation. Le numéro 3 de l’année 1951 explique le bon aménagement de la cuisine où « la maîtresse de maison travaille de 1200 à 1400 heures par an […], ce qui correspond à six ou sept mois de travail avec des journées de huit heures. La première idée doit être de ne pas réserver seulement aux classes supérieures la diminution de cette dépense de temps ».
L’article traduit de la revue Das Wohnen, insiste sur deux points :

la bonne disposition du fourneau, de la table de préparation et de l’évier (voir schéma ci-contre) qui constitue la base d’une cuisine et ne pourra pas être corrigée par la suite et « la hauteur la plus favorable » de l’évier à 93 cm et de 83 cm pour le fourneau, » calculée en fonction de la taille moyenne des femmes. L’auteur de l’article fait remarquer qu’il serait intéressant que la hauteur entre les deux éléments soit harmonisée mais « celle-ci n’a malheureusement pas encore été fixée ». Un autre article sur la réalisation des plans écrit par l’architecte Marcel Hézard explique que « la fatigue de la ménagère doit être réduite au minimum ». Néanmoins, il confirme les femmes dans leur rôle de femmes d’intérieur : [à propos de la salle de séjour], « on concevrait mal qu’une telle pièce ne soit pas constamment tenue en parfait état d’ordre et de propreté par la ménagère »[13]. Ces réflexions peuvent venir en appui du travail de conception des plans que les Castors réalisent avec leur architecte, du moins avant 1953 et l’adoption du plan Courant qui contraint à choisir parmi des plan-types homologués pour bénéficier du maximum de prime de construction au mètre carré.

Les Castors ont aussi bien souvent installé un lavoir individuel dans leur maison, ce qui est d’un grand intérêt car il permet de laver son linge à domicile en étant mieux protégé des intempéries et facilite le travail car la ménagère n’est plus obligée de se déplacer jusqu’au lavoir collectif pour faire sa lessive. C’est l’un des avantages offerts par l’eau courante, avec les sanitaires, l’évier, sans quoi il n’y a d’ailleurs « pas de vrai confort ».[14]
Les femmes dans la cité après la construction
C’est un fait : après la fin du chantier, la vie communautaire a beaucoup reculé. Les femmes ont souvent été pointées comme responsables. Le sociologue Bernard Legé, dans un article sur les Castors de la Monnaie à Angers, explique qu’au-delà de « la réflexion sexiste », l’intégration des femmes au groupe n’a eu lieu qu’après la fin du chantier et que celle-ci constitue un facteur de déséquilibre du simple fait du doublement du nombre de ses membres[15]. Cette affirmation peut être nuancée pour les groupes ruraux où les femmes se connaissaient déjà depuis longtemps et été socialement au moins aussi liées que les hommes même si elles n’ont pas le vécu les longs mois de chantier en commun. Il faut noter qu’il existait aussi des pressions de l’Eglise dans le Finistère pour limiter le risque de dérives communautaires. Il faut aussi insister sur l’importance d’un retour à une vie de famille normale après la fin du chantier. Le surinvestissement des responsables de groupe a pu aussi accentuer la volonté de retour à la normale, ceux-ci et leur famille souhaitant plus encore que les autres, un retour à la vie de famille ou retrouver leurs anciens engagements qu’ils avaient dû délaisser. On peut ajouter que dans la plupart des cités, malgré des souhaits affichés, les espaces communs sont réduits à leur strict minimum : circulations indispensables et tout au plus quelques placettes qui sont plus adaptées aux jeux des enfants et aux parties de pétanque qu’au développement de réalisations communautaires. Cependant, les femmes ont pu être engagées dans quelques réalisations qui ont eu lieu ici ou là.

A Pessac, Marthe Gaillard souhaitant intégrer le conseil d’administration du COL, est obligée de faire l’acquisition d’une action à titre personnel, celles de son époux ne lui donnant pas la qualité de sociétaire. Elle est élue et assure la présidence de la « Commission Sociale » de 1953 à 1957.
Pour remédier à cette anomalie, au moment de l’attribution individuelle en 1979, le notaire doit préciser que la propriété des maisons était commune aux deux époux.
A la suite de Daniel Bancon, on peut souligner que l’objectif des Castors était accompli et qu’il fallait bien « jouir d’une belle maison, d’un jardin et d’un confort qu’on avait jamais connu avant », les femmes ne sont donc pas responsables « du déclin de l’« esprit castor » ».[16]
[1] Semaine religieuse de Quimper et Léon, le 7 juillet 1950.
[2] Registre du Conseil municipal de Lesneven
[3] CONQ Josette, « Des Castors à Lambé », in Mémoire de Lambézellec, n° 1, 2, 3 et 4, 2e, 3e, 4e trimestre 1995 et 1er trimestre 1996.
[4] Pour Christine BRISSET, voir le documentaire de Marie Josée JAUBERT, On l’appelait Christine de 2005.
[5] VILANDRAU Maurice, L’étonnante aventure des Castors, L’Harmattan, Paris, 2002, p. 150.
[6] Fonds Jean LARVOR, secrétaire permanent du 1er groupe Castor de Lesneven.
[7] Dans mes recherches, j’en ai relevé au moins 8 cas. Des études approfondies de la composition des groupes en révéleraient certainement d’autres, d’autant que cette pratique était encouragée par le diocèse et renforçait l’image positive des Castors.
[8] VILANDRAU Maurice, op. cit., p. 148.
[9] Recensement établi par l’équipe de bénévoles ayant travaillé sur les Castors de Lesneven en 2019.
[10] YEPEZ Samantha, Pays Castor, documentaire de 55 minutes, 2015.
[11] BOUSSOUGANT Jean, Quand un homme bouge, il fait bouger le monde, compte d’auteur, 2015, p 78/9.
[12] VILANDRAU Maurice, op.cit., p. 148.
[13] Ces deux numéros de « Castor « service » » ont été retrouvés dans les archives d’Hubert POLARD à Landerneau ce qui témoigne de la circulation de ces documents au moins à destination des responsables de groupe.
[14] Essor n°10, mars 1953, revue de liaison interne des Castors des Abeilles de Quimper.
[15] LEGE Bernard, « Les Castors de la monnaie, Naissance et mort d’une épopée » in Terrain n°9, octobre 1987.
[16] BANCON Daniel, Les Castors de l’Alouette (1948-1951), Princi Negue Editour, Pau, 1998, p. 86.
Bravo et un grand merci pour nos mères, nos grand-mères et toutes les épouses de Castors elles méritaient bien une page spéciale dans ce site !